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Le journal des élèves du Lycée Jacques Monod (45) - optimisé pour votre smartphone
RDV dans la rubrique podcasts !
20/11/2022
Ces quelques photos prouvent qu'à quelques pas du lycée, minéral et gris, on peut profiter de la nature colorée, vivante et belle.
Écureuil surpris en train de chercher de la nourriture dans une poubelle - Parc des longues allées
Couleurs pétillantes, un souvenir du printemps, Mauve éblouissante - Haïku du parc des longues allées
Abeille : dernier voyage et dernière récolte avant l'hiver - Parc des longues allées
Saurez-vous reconnaître ce papillon ? - Bords de Loire
Brewal R.
11/11/2022
L'Académie Royale des Sciences de Suède, a annoncé que le Prix Nobel a été attribué aux trois physiciens d'après leur étude sur l'intrication quantique. Ils ont prouvé le phénomène mystérieux qu'Enstein qualifiait comme impossible et effrayant. Ce travail avait été entamé par Alain Aspect, dès 1982.
Petite note pour les nuls :
L'intrication quantique réfère à l'existence d'un lien inextricable entre deux particules, quelle que soit la distance qui les sépare.
Peut-être qu'un futur prix Nobel se cache parmi les élèves de Jacques Monod ? On ne sait jamais...
Eylul H.
17/10/2022
18/09/2022
08/06/2022
30/05/2022
”C’est cool de voir des jeunes se mobiliser pour cette action” a dit Yasmine la marraine de cette course solidaire. Pour cette première édition, le lycée a décidé de ne faire courir qu’un seul niveau d’élèves mais espère que l’année prochaine tous les élèves du lycée pourront y participer. Mathéo en 1G01 a dit qu’il le referait. 405 élèves ont réalisé 4570 tours soit 2285 kms. Monsieur Campé, professeur d’EPS a été “agréablement surpris par l’engagement des élèves” et veut souligner leur motivation et leur courage. Ils ont “voulu soutenir ACF” comme l’a souligné Florian de 1G06 qui a fait 25 tours.
A.C.F est une ONG créée en 1979 par des médecins et intellectuels français. Elle a pour but de lutter contre la faim dans le monde : près de 811 millions de personnes souffrent de ce fléau. Pour cela, elle intervient dans la lutte contre les inégalités à l’accès à l’eau, aux soins, mais également lors de catastrophes naturelles et de conflits qui sont l’une des causes de la malnutrition. (image : logo de la course solidaire ©ACF)
Ce projet a pu être mis en place grâce à la participation de nombreux professeurs comme M. Lefkir et M. Campé, des éco-délégués et d’élèves engagés mais aussi avec le soutien de la direction, en particulier de M. Leguillon qui a tout de suite été intéressé.
Avant la course, en avril, les élèves, ont été sensibilisés par une intervenante d’ACF. Debbie-Anne de 1G02 a été touchée par la vidéo projetée à cette occasion. Cela l’a renforcée dans l’idée de participer à la course pour aider les autres. Les élèves se sont inscrits sur une plateforme pour se faire parrainer et récolter de l’argent.Les lycéens tiennent à saluer l’investissement des bénévoles et remercient ceux qui ont assisté à la course contre la faim.
Nous avons rencontré Zahia qui fait partie de cette association et qui veut venir en aide aux personnes dans le besoin, ainsi qu’Aodren, la déléguée du Loiret, bénévole pour ACF depuis 1998. “On peut tous poser une pierre pour la faim dans le monde », nous ont-elles confié avant de remercier l’équipe pédagogique.
Sasha de 1G01 a trouvé “l’ambiance au rendez-vous” et pour Marie de 1G08 "c’était une bonne initiative”. Il faut retenir de cette journée l’investissement des élèves qui a été incroyable. Ils ont été souriants, volontaires, motivés et impliqués.
A l’année prochaine !
Jeanne B.
25/05/2022
Âgés entre 15 et 17 ans, Andrii, Illia, Roman, Sergii, Sofiia, Tetiana, Pavlo, sont venus des quatre coins de l’Ukraine pour échapper au conflit qui fait rage. Ils sont parfois venus seuls ou sont accompagnés de leur mère et sont logés par le biais d’associations ou de relations personnelles. Et c’est suite à leur hébergement que notre lycée les a accueillis.
Pour intégrer ces élèves issus de tous les niveaux, de la seconde à la terminale, il a fallu une certaine organisation de la part de la direction et de l’équipe enseignante, même si, comme nous l’a expliqué Monsieur Mauguin, les établissements doivent êtres préparés à l’accueil d’élèves dans la même situation que nos camarades ukrainiens. Pour cela, des professeurs ont été sollicités dont Madame Micigulski pour sa compétence à parler le polonais qui facilite la communication avec les nouveaux arrivants. Mais aussi Monsieur Pelletier et Madame Leroy qui se sont montrés volontaires, suite à leurs précédentes expériences d’enseignement de francais langue étrangère. Tous trois leur donnent des cours réguliers de FLS (Français langue de scolarisation). (Image : pause photo en cours de FLS ©Manon).
Un accompagnement a été fait de manière individuelle et personnalisée pour pouvoir les intégrer dans les meilleures conditions. A leur arrivée, les familles ukrainiennes et les familles d’accueil ont été reçues pour mieux cerner les besoins. Un emploi du temps d’immersion a été très rapidement distribué aux élèves. Ils ont ensuite passé des tests afin d’évaluer leur niveau dans les différentes matières, nous a expliqué Madame Delas lors d’un entretien.
Il a fallu aussi prévenir les professeurs et voir ceux qui seraient prêts à les accueillir dans leurs cours. Au début, il était difficile de communiquer avec eux à cause de la barrière de la langue mais des solutions ont été trouvées et aujourd’hui « On dirait des élèves français, ils sont déjà intégrés et commencent à parler français » nous a rapporté Monsieur Mauguin lors de notre entrevue. Comme ils se sentent bien, ils sont plus ouverts au dialogue et il est plus facile de communiquer qu’à leur arrivée. Cependant, une des élèves, Tetiana est retournée en Ukraine pour passer son bac : elle est revenue spécialement pour dire au revoir à Madame Delas et la remercier ce qui l’a profondément touchée, a-t-elle expliqué.
Souhaitons lui donc bon courage pour ses examens et dans la suite de sa vie. Quant aux autres, nous espérons qu’ils se plairont parmi nous.
Manon B.
24/05/2022
Parcoursup semble déjà plus efficace que son prédécesseur, Admission Post-Bac (APB). Il permet aux établissements de l’enseignement supérieur de mieux prévoir l’année scolaire suivante en leur donnant une meilleure idée du nombre d’étudiants qu’ils vont accueillir.
Il donne plus de transparence aux lycéens sur les attendus des formations, il est plus organisé. La fiche Avenir est considérée comme un très grand atout puisqu’elle permet aux établissements de prendre connaissance des candidats du point de vue de leurs professeurs.
Le délai entre la récupération des dossiers et les premières réponses semble à la fois très long et très court. Il s’explique par le temps de traitement des dossiers par les établissements. Cette opération est plus rapide maintenant par rapport aux premières années puisque les commissions d’examens savent ce qu’elles désirent voir chez un candidat. (image : page d'accueil de Parcoursup ©monodnews)
Selon les filières, cela varie, mais généralement toutes les informations disponibles via Parcoursup sont regardées par les établissements du supérieur.
Une fois les dossiers remplis, il n’y a pas de discrimination entre les candidats autre que le lieu d’habitation si la formation demandée est disponible dans le secteur d’habitation d’origine. Les dossiers sont anonymisés. Certaines formations ont des recrutements nationaux.
S’ils pouvaient améliorer quelque chose, M. Fitzé et M. Ringuedé encourageraient les lycéens à lire attentivement les fiches d’informations des formations afin d’éviter les erreurs d’orientation. Ils souhaiteraient pouvoir voir les autres voeux d’un candidat afin de savoir si son projet est cohérent.
Ce nouveau système semble prendre ses marques. Les formations arrivent à trouver des candidats qui ont les qualités pour réussir, surtout s’ils arrivent à se projeter et à rester ouverts sur les opportunités des formations.
Lianna B.--T.
18/05/2022
(photo : un élève se renseigne pour s'inscrire ©Jeanne)
12/05/2022
03/05/2022
L’épidémie et ses nombreuses répercussions
Au sein du lycée de nombreuses restrictions sanitaires ont étés prises durant ces deux dernières années. Les élèves, professeurs et les personnels ont eu plus ou moins de difficultés à s’adapter face à cette épidémie.
Les répercussions psychologiques
Cette épidémie a eu des répercussions psychologiques plus ou moins importantes sur de nombreuses personnes. Dans le lycée, les personnels, notamment les infirmières, n’ont pas très bien vécu le pic de contamination. Elles ont constaté que les élèves sont les plus touchés au niveau psychologiques. En effet, pendant les confinements, les élèves ont dû faire face à de nombreuses difficultés comme les violences inter familiales. Des phobies scolaires se sont également développées. Les élèves ont eu moins de vie sociale, ce qui a pu engendrer pour certains des décrochages scolaires. Concernant les professeurs, ils ont fait face à des obstacles en ayant une forte pression exercée sur eux notamment pendant le confinement et la demi-jauge : ils ont dû revoir leurs méthodologies de travail avec pour conséquence une surcharge de travail, tant pour les élèves qu’eux-mêmes. Par conséquent des émotions négatives se sont installées : peur du virus, culpabilité, morosité ambiante… qui changent notre perception des choses et d’autrui.
Retirer les masques, bonne ou mauvaise idée ?
Pour autant les mesures sanitaires se sont assouplies. Mais concernant le retrait du port du masque en mars les avis convergent. En effet, pour les professeurs et les personnels, cela représentait un risque car le nombres de cas positifs augmentait de nouveau. Selon certains professeurs, les personnes fragiles devraient encore garder leur masque, une décision qui reste encore à débattre. En revanche, la situation s’est nettement améliorée et ne suscite plus autant d’inquiétudes que depuis le début de la pandémie. Certains professeurs et personnels préconisent de maintenir le respect des distanciations sociales au sein du lycée.
La question de la fermeture partielle du lycée s’est aussi posée… Pour la totalité des professeurs, la réponse est claire : il faut impérativement le maintenir ouvert pour que les élèves puissent continuer normalement leurs études. Certains professeurs disent même avoir détesté les cours en distanciel, l’éducation des élèves étant primordiale. Les professeurs pensent qu’une partie des élèves ne travaillent pas suffisamment chez eux à cause notamment de divers problèmes techniques (accès internet, qualité de la connexion…).
Certains élèves ont notamment développé la peur de ne pas pouvoir suivre les cours et donc de ne pas être aptes à réussir le bac, surtout
dans un contexte de réforme dans lequel les programmes et les épreuves ont dû être modifiés à plusieurs reprises. Espérons qu'ils sauront dépasser ces difficultés !
Aleyna K., Ludivine P. et Myriame H.
03/05/2022
Comment gérez-vous les consignes sanitaires données par le gouvernement et combien de temps cela a pris pour se mettre en place ?
Philippe Mauguin : Tout d’abord cela a été une réflexion d’équipe, puisqu’à la fin du confinement, il a fallu organiser dans l’établissement des mesures sanitaires afin de limiter au maximum la propagation du virus. Nous nous sommes donc réunis avec la Commission d’hygiène et de sécurité pour mettre en place différentes mesures. Parmi celles-ci, nous avons par exemple mis en place des lavabos à la cantine ainsi que plus de savon et plus d’essuie-mains dans les toilettes. Nous avons également décidé de laisser les salles de classes ouvertes et de proposer un sens de circulation pour limiter au maximum la concentration dans les salles et permettre une circulation plus fluide dans les couloirs. Pour finir, du gel hydroalcoolique a été installé dans toutes les salles et à l’entrée du lycée. Nous avons mis en place tout ce qu’il nous était possible.
Vous avez également dû revoir l’organisation de l’internat et de la cantine…
P.M. : Effectivement il y a eu de nombreux changements. Les lits ont été positionnés de façon à ce que les élèves se retrouvent face à face, ce qui a donc éliminé des lits dans les chambres pour limiter le niveau de contamination. A la cantine mais également à l’entrée du lycée, nous avons mis en place un système afin de donner du gel hydro-alcoolique aux élèves sans toucher les distributeurs. Des zones ont été créées entre les terminales, premières et secondes dans la cantine pour éviter la contamination. Et tout cela en quelques semaines seulement !
Qui finance la mise en place des protocoles sanitaires, des fonds disponibles de l’État ou est-ce imputé sur le budget du lycée ?
P.M. : Cela dépend ; si on parle des masques, c’est l’État qui nous les fournit mais si on parle des fournitures, comme le gel ou les lavabos, c’est l’établissement qui paye.
Que s’est-il passé après la grève du 17 janvier dernier des professeurs contre le manque de masques, justement non fournis par l’État ?
P.M : Eh bien, le gouvernement nous a tout simplement envoyé des masques. Le hasard a fait que nous avons reçu les masques le lendemain.
Les réunions entre parents et professeurs sont-elles toujours autorisées ?
P.M. : Elles n’ont jamais été vraiment supprimées mais il est vrai que, durant la troisième vague du COVID-19, elles étaient plutôt mises en attente par rapport au risque de contamination.
Conseillez-vous aux professeurs de se munir de capteurs de CO2 dans les salles de classes ?
P.M. : Nous disposons de 3 capteurs de CO2. Le premier dans la cantine, là où le personnel mange, le second au CDI et enfin le dernier dans l’amphithéâtre. Courant janvier, trois professeurs étaient en charge d’effectuer des mesures pendant une semaine. Suite à cela, nous nous sommes rendus compte que si on respectait bien les règles, en laissant les portes ouvertes et en aérant les salles systématiquement, nous n’aurions pas de soucis de contamination rapide malgré la présence de nombreux élèves dans la classe. Les mesures prises ont été suffisantes afin de prendre les bonnes habitudes.
09/04/2022
Je vous présente donc une parodie du célèbre jeu vidéo « Mariokart », caricaturant des candidats aux élections présidentielles.
Nous pouvons donc repérer Emmanuel Macron en tête, néanmoins menacé par la carapace bleue (malus puissant visant le premier joueur dans le jeu vidéo Mariokart)
Jean-Luc Mélenchon est représenté sous forme de tortue (pseudonyme qu’il s’est lui-même donné, en référence à la fable Le Lièvre et de la Tortue).
Marine Le Pen est également présente, une femme apparemment très gentille …
Valérie Pécresse fait fausse route, Éric Zemmour dérape.
Quant à Anne Hidalgo, elle reste bloquée sur la ligne de départ.
Il y a bien sûr quelques autres détails que je vous laisse le plaisir de remarquer.
Merci de votre compréhension,
Et, si vous êtes en âge de voter, allez-y !
By Timo
09/03/2022
Tout d’abord, le dessin représente des européens occidentaux (tels que des français) et non pas des ukrainiens, ce qui pourrait porter à confusion, je le reconnais.
Le dessin a donc pour but de se moquer et de dénoncer les comportements excessifs que certains européens occidentaux adoptent et adopteront sûrement face à cette crise qui risque de nous impacter de plus en plus d’une manière ou d’une autre (Je me suis inspiré notamment des provisions démesurées que certains faisaient au début du confinement de 2020).
Je soutiens donc bien sûr à 100% le peuple ukrainien et aurais d’ailleurs honte de le tourner en dérision alors même qu’il subit une des pires horreurs que l’humanité ait inventée, la guerre.
Merci beaucoup de votre compréhension et de votre attention,
Timo
12/02/2022
Pendant une semaine de 7h30 à 17h vous avez pu apporter des livres, des chaussures, des plaids, des vêtements, des peluches et des jouets. Certains d’entre vous se sont même proposés pour participer à la tenue du stand. 40 élèves en tout ont tenu les stands ou chargé le camion !
Et les résultats sont tombés, près de 1562 objets ont été récoltés !
Alors un grand, un énorme merci à vous pour votre participation, et nous espérons qu’avoir joué au Père Noël vous aura plu.
A bientôt pour une nouvelle aventure au sein de notre lycée !
L'équipe des élèves volontaires pour cette action en faveur des Restos du cœur
Jeanne B.